• "Tu ne changeras jamais les choses en combattant ce qui existe déjà. Pour changer les choses, construis un nouveau modèle qui rendra l’ancien obsolète."

    - Buckiminster Fuller


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  • Source : AFP cité par le Figaro (si, si)

    Au moins 215 SDF sont morts en France depuis le 1er janvier 2009, dont dix au cours de la semaine du 21 septembre, a annoncé le collectif Morts de la rue.
    "Nous avons appris, cette semaine, les décès de dix personnes SDF", a ajouté le collectif dans un communiqué.

    "Depuis le début de l'année, nous avons appris 215 décès", a-t-il précisé, soulignant que cette liste n'était "pas exhaustive" : "Il s'agit de décès que nous apprenons souvent par hasard", a-t-il expliqué, en appelant les citoyens à lui faire parvenir tout décès qu'ils apprendraient.

    Le collectif prévoit d'"honorer ces morts", et d'agir ainsi "aussi pour les vivants", lors d'un rassemblement le 25 novembre place du palais Royal à Paris.
    Parmi les 215 SDF décédés depuis début 2009, le collectif rapporte le cas de Georghe, un Rom de 39 ans mort en février à l'hôpital, ou celui d'un homme de 72 ans non identifié décédé le 22 septembre à Annecy "à l'entrée d'un parking", après avoir vécu "plusieurs années à la rue".

    En 2008, le collectif avait dénombré les décès d'au moins 337 SDF, soit près d'un par jour. Il recense les décès des personnes effectivement mortes dans la rue, mais aussi des conséquences d'une vie "à la rue" : "Nous considérons qu'un SDF qui prend une chambre d'hôtel un soir et y décède meurt de la rue", a expliqué à l'AFP Cécile Rocca, coordinatrice du collectif.



    Il faut vraiment que le gouvernement fasse un Grenelle des SDF pour nommer un rapporteur d'une commission à venir pour réfléchir à la lutte contre cette mode qui fera un livre blanc de la rue...
    :(

     


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  • Le PDG de France Télécom, Didier Lombard a parlé devant la presse, mardi, à l'issue d'un entretien avec Xavier Darcos d'une "mode du suicide" dans son entreprise.(source)...rien à voir, évidemment, avec son travail de direction du management d'une telle violence qu'il amène à un tel mal-être au travail qu'il en devient insupportable, non rien.

    Suis-je le seul a être choqué par cette absence totale de conscience et de remise en cause ?
    Que faut il faire pour le sortir de son aveuglement meurtrier alors que 23 suicides en 18 mois n'y font rien ?
    Comment peut on soutenir une telle vision de l'économie, où l'homme n'est qu'une variable compressible à merci ?


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  • non aux sectes

    Une réforme législative votée par la majorité UMP en mai dernier et passée inaperçue jusqu'ici va sauver l'église de scientologie, qui était menacée de dissolution en France dans un procès pour escroquerie.

    C'est la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) qui a découvert la suppression de la peine de dissolution d'une personne morale en matière d'escroquerie, votée le 12 mai à l'Assemblée nationale.

    Le président de la Miviludes, Georges Fenech, a demandé dans un communiqué le rétablissement de la possibilité de dissolution. "Face à des organisations à caractère sectaire présentant un réel danger pour l'ordre public et la santé publique, la justice doit toujours pouvoir disposer d'une telle mesure", écrit-il.

    Cette réforme d'application immédiate a été votée juste avant le procès, au détour d'un texte sur la "simplification du droit", technique et complexe. Quoi qu'il arrive, la Scientologie française est à l'abri, au moins dans le cadre du procès qui s'est tenu entre fin mai et fin juin à Paris.

    Dans son jugement qui sera rendu le 27 octobre, le tribunal correctionnel ne pourra en effet plus légalement suivre les réquisitions du parquet formulées le 15 juin. Elles demandaient la dissolution des principales entités juridiques françaises de la Scientologie pour "escroquerie en bande organisée".

    Même en cas d'appel, après un éventuel rétablissement de la disposition, elle ne pourra pas non plus être appliquée, une loi qui durcit le droit ne pouvant être rétroactive.

    Quand il était ministre de l'Economie, Nicolas Sarkozy avait suscité la controverse en recevant le porte-drapeau de la Scientologie, l'acteur Tom Cruise, à Bercy en 2004. En février 2008, sa directrice de cabinet à l'Elysée Emmanuelle Mignon avait déclaré que les sectes étaient un "non-problème".

    Il y a quand même des accidents législatifs qui tombent bien...


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