• "Tu jugeras difficile de prier si tu ne sais pas comment faire.
    Chacun de nous doit s’aider à prier : en premier lieu, en recourant au silence, car nous ne pouvons pas nous mettre en présence de Dieu si nous ne pratiquons pas le silence, intérieur comme extérieur.
    Faire silence au-dedans de nous n’est pas facile, mais c’est un effort indispensable.
    Seulement dans le silence nous trouverons une nouvelle puissance et la vraie unité.
    La puissance de Dieu deviendra nôtre afin d’accomplir toutes choses comme il se doit ; il en ira de même pour l’unité de nos pensées avec ses pensées, de l’unité de nos prières avec ses prières, de l’unité de nos actions avec ses actions, de notre vie avec sa vie. (…)
    C’est dans le silence du coeur que Dieu parle ; si tu te places face à Dieu dans le silence et la prière, Dieu te parlera.
    Et alors tu sauras que tu n’es rien.
    Ce n’est que lorsque tu connais ton néant, ta vacuité, que Dieu peut te remplir de lui-même. (…)
    Le silence nous fait voir chaque chose autrement. Nous avons besoin du silence pour toucher les âmes des autres.
    L’essentiel n’est pas ce que nous disons, mais ce que Dieu dit – ce qu’il nous dit, ce qu’il dit à travers nous.
    Dans un tel silence, il nous écoutera ; dans un tel silence, il parlera à notre âme, et nous entendrons sa voix."


    - Mère Teresa


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  • "Le sens de l’existence ne s’inscrit pas seulement dans les gestes d’éclat, et il est plus difficile d’en prolonger la manifestation dans les simples gestes de la vie quotidienne. Là est le vrai courage. Là se manifeste la conversion.

    St Paul fut jeté à bas de son cheval, mais on vit seulement le lendemain qu’il s’était converti. L’orgueilleux pharisien, devenu humble, le manifestait dans une douceur nouvelle (et jamais acquise).

    Il réprimait un geste d’impatience, faisant passer l’expression de sa douleur après l’attention qu’il prêtait aux peines d’autrui, partageant un coin de table, etc.
    Tous ces gestes du converti s’inscrivent au-delà de la routine, dans la permanente invention qui leur donne sens.

    On n’a jamais fini de se convertir."


    - Jean Moussé


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  • "Car il faut que ce qui est périssable en nous devienne impérissable ; il faut que ce qui est mortel revête l'immortalité.
    Et quand ce qui est périssable en nous deviendra impérissable, quand ce qui est mortel revêtira l'immortalité, alors se réalisera la parole de l'Écriture : La mort a été engloutie dans la victoire.
    O Mort, où est ta victoire ?O Mort, où est ton dard venimeux ?
    Rendons grâce à Dieu qui nous donne la victoire par Jésus Christ notre Seigneur."

    - 1 Cor 15, 53-57

    "Ce qui est semé dans la terre est périssable, ce qui ressuscite est impérissable ;
    ce qui est semé n'a plus de valeur, ce qui ressuscite est plein de gloire ;
    ce qui est semé est faible, ce qui ressuscite est puissant ;
    ce qui est semé est un corps humain, ce qui ressuscite est un corps spirituel ;
    puisqu'il existe un corps humain, il existe aussi un corps spirituel."

    - 1 Cor 15, 42-44

    "Dieu essuiera tout larme de leurs yeux,
    la mort ne sera plus,
    et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur,
    car les premières choses ont disparu."


    - Apocalypse 21.4

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    "S'il est une chose que nous pouvons apprendre de la Vierge Marie, c'est bien sa tendresse."
    - Mère Teresa.

     

    Nous te saluons, ô Immaculée, Marie, comblée de grâce
    toi qui, dès le premier instant de ton existence,
    dès ta conception, a été préservée de tout péché,
    car tu allais devenir la Mère du Sauveur.

    Aide-nous à nous tourner vers ton Fils Jésus
    et à nous détourner du péché.
    Apprends-nous à prier pour les pécheurs comme tu l’as enseigné à Bernadette,
    car tu es la Mère du Rédempteur et notre Mère.

    Nous te saluons, ô Marie, lumière de foi bienheureuse,
    par ta glorieuse Assomption le Père des Miséricordes t’a revêtue en ton âme et en ton corps
    de la splendeur du jour unique de la Résurrection.

    Fortifie notre foi, qu’elle imprègne de sa lumière et de sa vérité
    notre intelligence, nos actions et notre service en ce monde,
    car tu es la Mère du plus beau des enfants des hommes et notre Mère.

    Nous te saluons, Vierge Sainte,
    toi que l’Esprit de sainteté a comblé de charité et rempli de toutes grâces.
    Apprends-nous la docilité à l’Esprit d’Amour, pour être comblés d’une vraie charité.

    Donne-nous la compassion pour toute souffrance
    et une prière instante pour la paix,
    car tu es Mère de Miséricorde et notre Mère.

    Nous te saluons, Mère au pied de la Croix,
    Vierge fidèle, Mère de l’Église.

    Apprends-nous à l’aimer et à la servir
    comme le Corps même de ton Fils livré pour nous et le salut du monde,
    car tu es la Mère de l’Agneau et du Pasteur et notre Mère.

    Nous te saluons, Aurore radieuse du Salut,
    par ta glorieuse Assomption,
    tu annonces et précèdes la gloire dans leur âme et dans leur corps de tous tes enfants,
    car tu es la Mère du Monde qui vient et notre Mère.


    Par Monseigneur de Monléon, évêque de Meaux pour les 150 ans du dogme de l’Immaculée Conception.


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