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  • "La guerre et le commerce ne sont que deux moyens d'arriver au même but : celui de posséder ce qu'on désire."
    - Benjamin Constant, De la liberté chez les modernes.

    Je suis loin d'avoir une vraie réflexion, profonde sur ce sujet, contrairement à ma chère marraine....en fait je ne suis pas vraiment sûr d'avoir envie d'en avoir une.

    Paradoxalement j'aime posséder, c'est même des fois un dérivatif au stress pour moi, mais en même temps je m'en fout un peu de posséder ayant parfaitement conscience qu'on est aussi possédé par ce qu'on possède et que c'est une relation malsaine au monde.

    Je collectionne, j'accumule, surement une compensation psychologique narcissique dû à des parents perpétuellement fauchés avec des fins de mois angoissantes commencant le 5. Je n'ai manqué de rien, mais ca toujours été frustrant et angoissant...

    Une de mes marrotes est de me faire le tri entre ce que j'aurai du mal à abandonner ou pas, s'il me fallait le faire vite. En gros, savoir ce qui est superflu...hé bien, je peux dire q'un sac à dos me suffirait en fait.

    C'est marrant, j'aime bien les beaux objets, mais ce ne sont au final que des objets...et il y en a peu qui me seraient difficile de donner ou d'abandonner...et comme j'aime faire des cadeaux, ca m'arrive de temps en temps...

    En fait, posséder m'est agréable mais ca n'est pas le sens de ma vie, ca me sers à mieux pouvoir offrir et à vivre dans le beau et le comfortable mais je préfère de loin une relation plus vraie au monde, via mes relations humaines.


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  • "On ne peut pas tout confondre. Les évènements de Grenoble relèvent du grand banditisme et demandent un traitement spécifique. Mais là, il y a un amalgame entre le sentiment d'insécurité et les populations d'origine immigrée.

    L'Église est toujours un peu hésitante devant des mesures qui tendent d'avantage à créer des clivages entre des parties de la population. Elle en appelle a des actions qui génèrent du lien social, qui créent du vivre ensemble. (…) "L'Église ne peut que réprouver les discours qui tendent à créer des clivages, qui appellent à la suspicion mutuelle : c'est tout à fait contraire au message de l'Évangile."

    - Mgr Jean-Luc Brunin, évêque d'Ajaccio.

    "Venez, les bénis de mon Père: prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la création du monde.
    Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli;
    nu, et vous m'avez vêtu; j'ai été malade, et vous m'avez visité; j'étais en prison, et vous êtes venus à moi. "
    Alors les justes lui répondront: " Seigneur, quand vous avons-nous vu avoir faim, et vous avons-nous donné à manger; avoir soif, et vous avons-nous donné à boire?
    Quand vous avons-nous vu étranger, et vous avons-nous recueilli; nu, et vous avons-nous vêtu?
    Quand vous avons-nous vu malade ou en prison, et sommes-nous venus à vous? "
    Et le Roi leur répondra: " En vérité, je vous le dis, chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait.
    "

    - Matthieu 25, 34-40.

    Pour aller plus loin : Compendium de la Doctrine sociale de l'Eglise.


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  • "Il nous faut devenir adultes pour comprendre que les adultes n'existent pas et que nous avons été élevés par des enfants que l'armure de nos rires rendaient faussement invulnérables"

    - Christian Bobin


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    "S'il est une chose que nous pouvons apprendre de la Vierge Marie, c'est bien sa tendresse."
    - Mère Teresa.

     

    Nous te saluons, ô Immaculée, Marie, comblée de grâce
    toi qui, dès le premier instant de ton existence,
    dès ta conception, a été préservée de tout péché,
    car tu allais devenir la Mère du Sauveur.

    Aide-nous à nous tourner vers ton Fils Jésus
    et à nous détourner du péché.
    Apprends-nous à prier pour les pécheurs comme tu l’as enseigné à Bernadette,
    car tu es la Mère du Rédempteur et notre Mère.

    Nous te saluons, ô Marie, lumière de foi bienheureuse,
    par ta glorieuse Assomption le Père des Miséricordes t’a revêtue en ton âme et en ton corps
    de la splendeur du jour unique de la Résurrection.

    Fortifie notre foi, qu’elle imprègne de sa lumière et de sa vérité
    notre intelligence, nos actions et notre service en ce monde,
    car tu es la Mère du plus beau des enfants des hommes et notre Mère.

    Nous te saluons, Vierge Sainte,
    toi que l’Esprit de sainteté a comblé de charité et rempli de toutes grâces.
    Apprends-nous la docilité à l’Esprit d’Amour, pour être comblés d’une vraie charité.

    Donne-nous la compassion pour toute souffrance
    et une prière instante pour la paix,
    car tu es Mère de Miséricorde et notre Mère.

    Nous te saluons, Mère au pied de la Croix,
    Vierge fidèle, Mère de l’Église.

    Apprends-nous à l’aimer et à la servir
    comme le Corps même de ton Fils livré pour nous et le salut du monde,
    car tu es la Mère de l’Agneau et du Pasteur et notre Mère.

    Nous te saluons, Aurore radieuse du Salut,
    par ta glorieuse Assomption,
    tu annonces et précèdes la gloire dans leur âme et dans leur corps de tous tes enfants,
    car tu es la Mère du Monde qui vient et notre Mère.


    Par Monseigneur de Monléon, évêque de Meaux pour les 150 ans du dogme de l’Immaculée Conception.


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